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La signature manuscrite existe aussi à l'ère numérique. Mais il existe tellement de noms différents pour la qualifier : signature électronique, signature électronique qualifiée, signature numérique - quelles sont les différences ? Que signifient-elles ? Il s'agit d'un élément important dans la gestion de la qualité.
Nous rencontrons des signatures électroniques tous les jours dans toutes sortes de contextes et de systèmes. Dans de nombreux cas, aucune mesure particulière n'est nécessaire, comme pour la validation des congés des collaborateurs par exemple. En revanche, cela devient plus complexe lorsqu'il faut digitaliser un document papier signé manuellement.
Pour mieux comprendre, clarifions ces trois termes et le niveau de sécurité associé :
Pour une signature électronique de base, le point de départ est l'authentification d'un utilisateur par rapport à un système logiciel. Cette authentification est généralement basée sur un mot de passe. Ensuite, le système évalue les droits de l'utilisateur en question et détermine si son rôle lui permet de signer une validation de congés par exemple. S'il est autorisé, cela génère une simple signature électronique.
Toutefois, l'authentification simple a ses limites : par exemple, si l'utilisateur quitte son poste de travail sans verrouiller le système, il peut y avoir une faille de sécurité.
Plus le besoin de sécurité est élevé, plus les procédures d'authentification sont rigoureuses. C'est là que les solutions de gestion de la qualité montrent leurs atouts : elles offrent des scénarios de déploiement flexibles et trouvent le meilleur équilibre entre convivialité et sécurité.
En tant qu'intégrateur de solutions Microsoft et éditeur d'applications métier, nous proposons une solution globale pour le management de la qualité.
COSMO Quality Management Pack est composée de trois modules :